La notification à la Commission européenne de l’acquisition par son concurrent d’un fournisseur de services de paiements, opération autorisée en phase I moyennant des engagements de cession dans deux pays européens*
La création de la plus grande coopérative agricole de Bretagne, opération autorisée par l’Autorité de la concurrence en phase I, moyennant des engagements tant structurels que comportementaux*
La notification à la Commission européenne de l’acquisition par un fournisseur de services financiers, d’un fournisseur d’informations financières, autorisée au terme d’une phase II avec engagements*
La notification de l’acquisition d’un producteur d’alternatives végétales aux produits laitiers par un acteur majeur du secteur laitier, autorisée en phase I avec engagements*
La notification de l’acquisition d’un producteur de fromage italien par un acteur majeur du secteur laitier, autorisée en phase I sans engagements, mais après un "pull & refile" pour surmonter les arguments avancés par un plaignant*
La défense d’un acteur majeur de l’économie numérique devant l’Autorité de la concurrence dans le cadre de plusieurs procédures, soit pour entente, soit pour abus de position dominante, à la fois dans le cadre de mesures conservatoires (dont la demande a été rejetée par l’Autorité de la concurrence) et de procédures au fond*
La défense d’une entreprise commercialisant des produits d’entretien et de soin du corps, devant l’Autorité de la concurrence, puis devant ses juridictions de contrôle*
La défense d’une entreprise de meunerie condamnée par l’Autorité de la concurrence pour sa participation à une entente anticoncurrentielle, obtenant devant la Cour d’appel de Paris une réduction de 90 % du montant de l’amende*
La défense d’une coopérative agricole, accusée d’avoir participé à un cartel, obtenant de la part de la Commission européenne une réduction d’amende d’environ 90% en faisant valoir son absence de capacité financière suffisante*
La représentation d’entreprises faisant face à des actions indemnitaires suite à leur condamnation par la Commission européenne ou par l’Autorité de la concurrence*
La représentation d’entreprises en difficulté ou de personnes publiques françaises, souhaitant recevoir ou attribuer des aides d’Etat au sauvetage et à la restructuration d’entreprises en difficulté, dans les secteurs (i) des banques et établissements financiers ; (ii) de l’énergie nucléaire ; (iii) automobile ; (iv) du transport maritime*